Nousne sommes pas de mauvaises mères parce que nous pleurons, parce que nous sommes fatiguées, parce que nous ne pensons pas à tout Concentrons nous sur ce que nous faisons de bien pour nos bébés car il y a bien plus de positif et voyons comment nous avons évolué depuis qu’ils sont à nos côtés. Unefois de plus, le personnage de Haruka Harukaze se montre d'une aide très précieuse pour réparer la situation. Une mauvaise mère a aussi une bonne surprise pour les fidèles de la série : le retour de Marie et de son petit ami Éric, dont Dorémi était tombé follement amoureuse dans le tout premier épisode de la série : L'école des Jeme sens être une mauvaise mère. Voilà j’ai une petite de 2 ans que je ne contrôle pas du tous elle n’écoute rien! Elle me pousse a bout. A des moments je me vois (dans ma tête) lui faire du mal, lui mettre des claques ect. Bien évidement je précise que je ne le fais pas, j’ose à peine lui mettre des fesses alors des Maisil a fallu pour cela une parole tranchante qui sépare le fils de sa mère. Sans une telle parole, l’amour maternel serait resté convoitise, étreinte et risque d’asphyxie. Par cette parole, au moment même où ce fils est séparé de sa mère, il est aussi donné à celle qui l’enfante pour qu’il vive. Conclusion (v. 28) CyrilLoiry a eu une fille d'un premier mariage et celle-ci, regrette-t-il, connaît à peine ses demi-frères, enlevés en Roumanie par leur mère depuis 2017. (Archives) DR (Archives) DR 0 Dautres conseils pour endormir votre enfant. Vous ne devez pas forcément laisser votre enfant ressentir les conséquences négatives de ne pas avoir un bon repos.. Pour contribuer à un repos approprié, nous suggérons que, en tant que mère, vous créez une routine cohérente et prévisible pour l’heure du coucher. Celle-ci devrait inclure au moins 30 minutes d’activité de relaxation. brixe. Ce mercredi 22 juin, Nathalie Marquay est revenue longuement sur le deuil de Jean-Pierre Pernaut. Miss France 1987 en a profité également pour crier haut et fort être prête à tout pour ses deux enfants, Lou et 2 mars dernier, le monde de Nathalie Marquay a vacillé. Celui qu'elle aimait depuis plus de vingt ans venait alors de décéder. Jean-Pierre Pernaut nous a en effet quittés peu avant son 72e anniversaire, de conséquences de son cancer du poumon. Cela fait près de quatre mois que Miss France 1987 vit un cauchemar. Comment garder la face ? Comment apprendre à vivre sans celui qu'elle aimait tant ? Comment ne pas sombrer ? Face à ce terrible deuil, Nathalie Marquay avance à tâtons. Certes, ces dernières années, Jean-Pierre Pernaut avait enchaîné les sérieux pépins de santé, mais il lui était impossible de croire que son homme allait la quitter ainsi. Aujourd'hui, "c'est toujours compliqué", reconnaît Nathalie Marquay dans les colonnes du Parisien ce mercredi 22 juin."On dit avec le temps, ça passe, mais plus le temps passe, pire c'est", estime celle qui ressent "un grand manque". Pourtant, la comédienne ne peut perdre pied. Si sa peine est incommensurable, Nathalie Marquay doit tenir, au moins pour ses deux enfants, Lou et Tom Pernaut, respectivement âgés de 20 et 19 ans. Ce sont eux qui l'aident à tenir. "Je ne peux pas leur faire un mauvais coup. Je me suis tellement battue pour les avoir", raconte-t-elle. Et de détailler "Quand j'ai eu ma leucémie, j'avais risqué ma vie en refusant la greffe de moelle, contre l'avis des médecins. Parce que sinon tu es 100 % stérile. Ils m'ont dit que j'allais droit au suicide. Je m'en suis sortie et j'ai eu mes deux enfants".Nathalie Marquay "Je ne peux pas me permettre de faire de connerie"Il n'est donc pas envisageable de les abandonner à leur triste sort. "Je ne peux pas me permettre de faire de connerie. Ils ont besoin de moi", confie celle qui est aux petits soins pour sa progéniture, qu'elle veille d'encore plus près depuis qu'ils ont perdu leur père. Optimiste malgré tout, Nathalie Marquay imagine surtout l'après, lorsqu'ils se seront relevés de cette douloureuse épreuve et que ses enfants auront grandi. Lorsque le bonheur frappera à nouveau à leur porte. "Et puis j'ai hâte - après, pas tout de suite - d'être grand-mère ! J'ai 55 ans, je serais à l'âge... Mais eux sont encore jeunes. C'est un truc qui me ferait super plaisir. Une petite Lou, un petit Tom, je craque !", s'enthousiasme-t-elle. Dans l'adversité, Nathalie Marquay peut également compter sur... Jean-Pierre Pernaut. "Sa mémoire. Sa présence. Il est tout le temps à côté de moi", affirme celle qui se raccroche aux signes qu'il peut lui envoyer de l'au-delà. Une présence sans laquelle elle pourrait faire face.© CYRIL MOREAU 2/12 - Nathalie Marquay et sa fille Lou Pernaut Nathalie Marquay en a profité également pour crier haut et fort être prête à tout pour ses deux enfants, Lou et Tom © Jack Tribeca 3/12 - Nathalie Marquay Près de quatre mois après le décès de Jean-Pierre Pernaut, la douleur est toujours aussi vive pour Nathalie Marquay © Jack Tribeca 4/12 - Nathalie Marquay Comment ne pas sombrer et apprendre à vivre sans celui qu'elle a aimé pendant plus de vingt ans ? Nathalie Marquay avance à tâtons © Jack Tribeca 5/12 - Nathalie Marquay Une chose est certaine Nathalie Marquay ne peut perdre pied, au moins pour ses deux enfants, Lou et Tom Pernaut © CYRIL MOREAU 6/12 - Tom, Nathalie Marquay et Lou Ce sont d'ailleurs Lou et Tom Pernaut qui aident Nathalie Marquay à tenir © CYRIL MOREAU 7/12 - Nathalie Marquay et Tom Pernaut "Je ne peux pas leur faire un mauvais coup. Je me suis tellement battue pour les avoir", raconte Nathalie Marquay © CYRIL MOREAU 8/12 - Tom, Nathalie Marquay et Lou Il n'est donc pas envisageable pour Nathalie Marquay d'abandonner à leur triste sort Lou et Tom Pernaut © CYRIL MOREAU 9/12 - Nathalie Marquay et Tom "Je ne peux pas me permettre de faire de connerie. Ils ont besoin de moi", confie Nathalie Marquay © JLPPA 10/12 - Nathalie Marquay Optimiste malgré tout, Nathalie Marquay imagine surtout l'après, lorsqu'ils se seront relevés de cette douloureuse épreuve et que ses enfants auront grandi © JLPPA 11/12 - Nathalie Marquay "Et puis j'ai hâte - après, pas tout de suite - d'être grand-mère ! J'ai 55 ans, je serais à l'âge... Mais eux sont encore jeunes. C'est un truc qui me ferait super plaisir. Une petite Lou, un petit Tom, je craque !", s'enthousiasme Nathalie Marquay © RACHID BELLAK 12/12 - Nathalie Marquay Dans l'adversité, Nathalie Marquay peut également compter sur... Jean-Pierre Pernaut "Sa mémoire. Sa présence. Il est tout le temps à côté de moi" Getty Images x Refinery29On dit souvent que la relation la plus importante dans la vie est celle qu'on entretient avec soi-même. Et même si ça peut sembler un peu simplet, on ne peut qu'être d'accord. Une mauvaise relation à soi-même peut entraîner une faible estime de soi, des problèmes de santé mentale et des relations malsaines. Consciemment ou non, on se dit qu'on ne mérite pas mieux et on balaye nos difficultés d'un revers de la main, comme si elles n'avaient pas d'importance. Même lorsque tout va bien, on reste notre pire critique, en s'imposant des standards impossibles à atteindre et en se rabaissant quand tout n'est pas parfait or c'est souvent le cas. Après avoir passé de nombreux mois coincées à la maison avec rien d'autre à faire que de réfléchir à l'état de notre vie et fixer les murs de notre chambre, l'attention portée à la santé mentale est au plus haut. Si on en a un peu marre des expressions tendance comme "self-care", "bien-être" et de la marchandisation de la santé mentale, l'autocompassion peut s'avérer vous avez besoin d'un peu de douceur, mais que vous n'avez pas la patience de vous plonger dans des livres, des podcasts, de la méditation ou des retraites coûteuses, il existe une technique approuvée par les psychologues, connue sous le nom de NOTE, qui peut vous aider à faire le point sur votre santé mentale lorsque vous vous dans Psychology Today par Steven C. Hayes, la technique NOTE - acronyme de Notice, Observe, Thank et Engage noter, observer, remercier et échanger - est une formule simple à suivre pour être plus attentifves à notre attitude envers nous-même. Voici notre guide pour mettre en pratique ces Remarquer ce qui se passe. C'est une façon de vous surprendre vous-mêmes lorsque des pensées dépréciatives ou des critiques surgissent et de les identifier comme telles. Cette capacité à prendre conscience de vos propres émotions et jugements est inestimable pour la santé fois que vous avez pris note de la pensée ou du sentiment, il est temps de creuser un peu. Analysez ce que disent les pensées et les sentiments qui les accompagnent. S'agit-il d'un sentiment familier ? Quelqu'un vous a-t-il déjà fait part de ces craintes ? Essayez de contempler ces pensées et observez-les comme s'il s'agissait d'une peut paraître idiot, mais penser à se remercier est un moyen efficace de renforcer l'estime de soi. Que ce soit intérieurement ou à haute voix, rappelez-vous que vous êtes une priorité qui mérite d'être valorisée par un renforcement positif pour avoir pris le temps de la permet également de voir les émotions négatives pour ce qu'elles sont réellement. Comme le dit Hayes, votre esprit est bien intentionné, mais il ne sait pas toujours comment sortir du mode résolution de problèmes. Mais lorsque vous traitez même les pires aspects de votre personnalité avec bienveillance, vous établissez un lien avec ceux-ci au lieu d'essayer de les si vous êtes une introvertie invétérée, il est sain de consacrer un moment, après une baisse d'estime de soi, à échanger avec le monde qui vous entoure. Prenez un verre avec des amies, appelez votre mère ou allez simplement caresser le chien du fait de s'extraire de ses pensées insulaires et de sortir de chez vous est une excellente distraction et vous rappelle aussi que la vie ne se résume pas à des petites erreurs. FAMILLE - J'ai repensé aux questions et commentaires entendus en tant que mère qui travaille. Je ne pense pas que quiconque ait voulu se montrer impoli ou critique à dessein, mais j'ai été surprise des propos bien intentionnés tenus par les gens à des mères qui ne s'occupent pas de leurs enfants à plein temps. Alamy Alamy Récemment, Amy Shearn a fait part d'une liste de choses qu'il ne faut pas dire à des femmes au foyer. Elle aurait pu se contenter de répéter n'importe quelle phrase écrite par Elisabeth Wurtzel l'an dernier, mais ça aurait été trop simple. Shearn a présenté une liste drôle, intelligente, et pertinente. Cela m'a fait réfléchir aux questions et commentaires que j'avais entendus en tant que mère qui travaille. Je ne pense pas que quiconque ait voulu se montrer impoli ou critique à dessein, mais j'ai été surprise des propos bien intentionnés tenus par les gens à des mères qui ne s'occupent pas de leurs enfants à plein temps. On y sent une subtile hostilité et une pointe de jugement telles que j'ai souvent souhaité que les gens réfléchissent avant de parler. Avant que quelqu'un se fasse une fausse idée, je précise que je soutiens à fond les mères au foyer. Elles travaillent. Elles travaillent dur. Elles font d'excellents choix, et je vous en prie, arrêter de me fixer comme ça. Il y a des jours où je les envie plus que vous ne l'imagineriez. Tu ne peux pas te permettre de rester à la maison ? Imaginons un instant que, non, je ne peux pas me le permettre. Imaginons que je travaille pour aider à rembourser le prêt, acheter à manger, et envoyer nos enfants à l'université. Comment va-t-on continuer cette conversation maintenant ? C'est embarrassant n'est-ce pas ? Le temps de réaliser, vous allez voir que je vais vous demander combien gagne votre mari pour vous permettre de rester à la maison. Mieux vaut ne pas en arriver là. Imaginons ensuite que je puisse me permettre de rester à la maison. Cette question sous-entend que la raison pour laquelle je travaille est uniquement financière. Ce qui est en effet une des raisons. Si je pouvais gagner plus d'argent en regardant de la mauvaise téléréalité et en faisant du yoga toute la journée, je le ferais. Comme ce n'est pas possible, je fais un travail plus traditionnel - mais ce n'est pas qu'une question d'argent. Mes études et les années que j'ai consacrées à ma carrière comptent pour moi. Je pense que c'est bien que mes garçons me voient travailler hors de la maison, et qu'ils réalisent qu'une femme n'est pas faite que pour être épouse et mère. Je sais aussi qu'un jour, nos enfants iront à l'université et qu'ils se construiront eux-mêmes une carrière je veux donc garder un pied dans le monde du travail pour que ce jour venu, je ne me retrouve pas à fixer ce gros trou dans mon CV, compliquant encore plus mes recherches d'emploi. J'aime aussi que l'idée d'égalité dans mon mariage parce que mon mari et moi mettons de l'argent à la banque. C'est mon humble avis. Mais cette simple question dévalorise toutes ces considérations, et donc, mes choix. Je vous en prie, ne faites pas cela. Je ferais n'importe quoi pour pouvoir passer une journée entière sans mes enfants. Si vous le souhaitez vraiment, je serai ravie de vous aider à peaufiner votre CV. Vous pouvez être libérée de vos enfants toute la journée, tous les jours ! Bien sûr, avec cette "liberté", vient la culpabilité d'être loin d'eux. Vous vous demanderez s'ils vont bien parce qu'ils sont à la maison avec une nounou ou dans une crèche. Aller au travail tous les jours et faire un signe à mes enfants derrière la vitre de la salle de bains n'est pas un moment de fête. C'est comme dire qu'on adore le triathlon. Vous commencez chaque journée par un plongeon matinal dans une eau glacée, préparant tout le monde pour l'école/le travail, puis vous pédalez durant huit heures, et vous finissez avec un semi-marathon comprenant le dîner, les devoirs, la toilette et le coucher. Durant votre course à vélo, on s'attend non seulement à ce que vous pédaliez dur, mais aussi à ce que vous preniez les appels de l'école, de la baby-sitter, et du docteur, que vous commandiez les courses et une nouvelle paire de jeans, et que vous vous rappeliez de rendre les livres à la bibliothèque parce que tout ça doit être fait MAINTENANT. Si vous avez de la chance, il restera un fond de vin dans le frigo. Mon enfant me manquerait trop si je devais passer mes journées sans lui. Croyez moi, je comprends très bien. Mais vous vous y ferez. Parce que vous n'avez pas le choix. Le problème dans ce pays aujourd'hui, c'est qu'il n'y a pas assez de mamans qui restent à la maison pour élever leurs enfants. Je sais ! Je suis entièrement d'accord ! Oh, attendez. Vous ne plaidez pas pour un congé parental rémunéré, des horaires de travail flexibles, ou du télétravail, n'est-ce pas ? Vous ne manifestez pas pour soutenir les parents qui travaillent parce que, soyons honnêtes, certains pères aimeraient aussi pouvoir passer plus de temps avec leurs enfants de sorte qu'ils puissent faire les bons choix pour leurs familles, n'est-ce pas ? Vous souhaitez simplement que plus de mères restent à la maison. C'est possible qu'il soit mieux pour ces familles de vivre dans un stress financier ou psychologique afin d'être en adéquation avec une image de la famille plus traditionnelle, mais je n'y crois pas. Si j'entends encore une remarque sur la façon dont les familles où les deux conjoints travaillent sapent le véritable tissu social, je vais devenir folle. La dernière fois que j'ai vérifié, personne dans ma famille n'avait tiré sur qui que ce soit, volé quoi que ce soit, triché lors d'un examen, brûlé un feu rouge, ni même jeté quelque chose dans la rue. Bon, c'est vrai, j'ai travaillé toute la matinée alors peut-être que les choses ont changé depuis le petit-déjeuner. Pourquoi fais-tu des enfants si c'est quelqu'un d'autre qui les élève ? Des gens m'ont vraiment dit ça. Ils l'ont dit à mes amies. C'est une bonne chose que je ne possède pas le pouvoir de les pulvériser avec mes yeux laser. Si j'entends encore ça, je vous renverrais à mon premier point sur les raisons pour lesquels je travaille hors de chez moi. Et puis je vous demanderai d'être UN TANTINET MOINS CRITIQUE MERCI BEAUCOUP. J'ai eu mon petit bout parce que chaque parcelle de mon corps avait envie de connaître la maternité et que ma famille se sentait incomplète avec une personne en moins. Aimer et élever un enfant n'est pas incompatible avec le fait d'avoir de l'aide pour y parvenir. Nous sommes fiers et heureux d'avoir des personnes merveilleuses autour de nous qui nous aident - de notre famille à nos amis, en passant par les enseignants et les baby-sitters. Mais ne vous y trompez pas, mon mari et moi élevons nos enfants. Nous ne sommes pas à la maison tous les jours, mais nous accompagnons à chaque instant nos enfants dans leurs vies. Je ne sais pas comment tu fais. Ca doit être très dur. C'est le cas. Je ne sais pas comment je fais. Mais je ne pense pas que c'est parce que je travaille, je pense qu'être parent est aussi difficile que l'on reste à la maison ou qu'on travaille. Je ne sais pas comment n'importe lequel d'entre nous y arrive. C'est merveilleux et gratifiant et ça apporte plein d'amour, mais c'est la chose la plus difficile que j'ai jamais faite. Etre capable de s'occuper d'enfants et de quelque chose d'autre en même temps, que ce soit un travail bien rémunéré, ou tenir une maison, ou trouver le temps de regarder Koh-Lanta relève presque de l'impossible. Tu dois être super bien organisée pour tout mener de front. J'ai une réaction mi-figue mi-raisin quand j'entends cette phrase. Je commence par savourer cette affirmation. J'ai l'impression que je suis effectivement bien organisée. Et puis je me rappelle - je suis au bord de la crise de nerfs. Je porte des chaussettes dépareillées, mes enfants sont allés à l'école avec de la confiture sur la figure, et je n'ai pas fait de sport depuis une semaine. J'ai des piles de livres, de vêtements et Dieu sait quoi encore dans ma chambre. J'ai oublié une téléconférence hier et j'ai perdu l'autorisation pour le planétarium. J'oublie quelque chose tous les jours. Il n'y a pas d'équilibre. Juste un désordre contrôlé avec soin. C'est à dire que ma vie ressemble à peu près à celle de tout le monde. Il y aura toujours du temps pour travailler plus tard, ces premières années sont si précieuses. Chaque année est précieuse. Et pourquoi on ne dit jamais ça aux pères ? Tu as l'air épuisée Sans blague ? Merci ! Tu veux m'offrir une journée au spa ? Et garder ensuite mes enfants pour que je puisse me reposer ? Non ? Bon alors, faisons comme si on ne voyait pas les valises que j'ai sous les yeux. Au moins tu chéris chaque minute que tu passes avec ton fils. Et bien, peut-être pas chacune d'entre elles. Parce que parfois Petit Bout est un monstre et que je rentre à la maison à l'heure fatale, juste à temps pour le forcer à manger ses carottes, le faire se laver les dents et se coucher. Moment le plus relaxant de votre journée, comme vous le confirmeront tous les parents. C'est pourquoi je garde toujours une bouteille au frais dans le frigo. Malgré ça, bien sûr, je chéris tous les moments que je passe avec mes enfants, mais j'ai du mal à croire que ce serait différent si je passais plus de temps à la maison. Tu n'as pas peur de passer à côté de quelque chose ? Chaque jour. Mais ensuite mon fils court dans mes bras quand je vais le chercher à l'école, grimpe sur mon lit le matin en me disant que je suis "la meilleure des mamans", et je sais alors que tout ira bien. Aider les parents à suivre - Aux Etats-Unis les Parent Academy Programs sont des cours de mise à niveau dans diverses matières ainsi que sur le fonctionnement du système scolaire. Ils sont proposés aux parents dans l'école fréquentée par leurs enfants afin de répondre aux besoins de parents qui peuvent avoir besoin d'aide pour mieux les accompagner dans leur scolarité. De l'aide à domicile pour... les parents - En Israël, également pour aider les parents à mieux soutenir leurs enfants dans leur scolarité, des parents-formateurs viennent par ailleurs aux domiciles des parents pour leur donner des conseils, proposer des exercices pratiques d'apprentissage à réaliser avec leurs enfants etc. dans le cadre du programme HIPPY. L'avantage de ces parentsformateurs est aussi de mettre en confiance les parents, de les mettre plus à l'aise. Créer du lien autour de la lecture - Proposer des activités ludiques en marge de la scolarité qui permettent aux parents et à leurs enfants de développer leurs liens, tout en étant l'occasion de conseils et d'échanges entre parents, est un autre exemple de soutien à la parentalité pertinent. Ainsi, au Québec, des écoles organisent des Soirées de gars » où seuls les pères accompagnés de leurs fils sont invités à se retrouver autours d'activités de lecture. Des centres de documentation pour les parents - Pour faciliter l'accès aux initiatives de soutien, des écoles américaines mettent en place dans leurs locaux des Family Resource Centers bureaux des parents où les parents peuvent demander conseils et être orientés vers des services plus spécialisés. Également pour faciliter l'accès, et également aux États-Unis, des entreprises proposent à leurs employés des programmes de soutien à la parentalité lors de leur pause-déjeuner Talking Parents, Healthy Teens. Former le personnel encadrant à répondre aux parents - Des pays comme le Danemark ont plutôt choisi de former les personnels des services de santé et d'éducation pour que ceux-ci puissent répondre aux questions des parents en matière de parentalité. D'autres initiatives, comme celle de la Ville de Toronto Toronto First Duty, au Canada, ou comme le Harlem Children's Zone aux États-Unis, regroupent dans des centres, de façon très intégrées, plusieurs services destinés aux familles comme les services de garde, d'éducation, de soutien à la parentalité, de santé etc. Aider les parents à suivre - Aux Etats-Unis les Parent Academy Programs sont des cours de mise à niveau dans diverses matières ainsi que sur le fonctionnement du système scolaire. Ils sont proposés aux parents dans l'école fréquentée par leurs enfants afin de répondre aux besoins de parents qui peuvent avoir besoin d'aide pour mieux les accompagner dans leur scolarité. Mis à jour le 01/01/2021 à 00h00 Suis-je une bonne mère ? La question hante de nombreuses mamans, qui croulent sous les avis et les conseils en tout genre. A défaut d'être parfaite, une mère est-elle pour autant une "mauvaise mère" ? Ni ange, ni sorcière, la mère "suffisamment bonne" se rencontre entre les deux, là où il y a place non seulement pour l'enfant mais également pour elle-même. Les manuels à usage des mères se sont multipliés. Tous prétendent expliquer comment devenir le parent idéal. Si certains ont valeur de soutien, beaucoup sont si imprégnés de perfectionnisme que les mères finissent par douter d'être jamais à la hauteur ! Mais au fait, c'est quoi exactement, être une bonne mère ? Ni ange, ni sorcière Un des pièges qui guette toute mère, c'est de se laisser prendre à l'image mythique de la mère angélique, toute abnégation, toute douceur, d'une patience sans limites… Non seulement notre culture regorge de telles images mais il faut bien dire aussi que le petit être dépendant, imprévisible et bouleversant qui leur arrive appelle et nécessite un tel altruisme, du moins durant les premiers mois de sa vie. A vouloir se maintenir à tout prix dans cette position, on ne peut que rencontrer la culpabilité car, évidemment, la perfection est inaccessible. Tout comportement, tout sentiment s'écartant de l'image idyllique comme d'avoir envie de secouer copieusement son rejeton, voire de le "couper menu", par exemple est alors vécu comme quasi-"monstrueux". Comme si une mère ne pouvait être qu'ange ou sorcière ! En fait, toute mère a vécu un jour des situations extrêmes élever un enfant apporte beaucoup de joies mais c'est aussi est un travail énorme. C'est à oublier de le dire qu'on rend coupables les larmes, l'énervement et le découragement que provoque quelquefois le rôle de parent. Pour les mères d'aujourd'hui, submergées de recommandations, la culpabilité est encore accentuée par le décalage qu'elles ressentent entre ce qui est l'image imposée de la mère et ce qu'elles se sentent aptes à assurer. Ainsi sont-elles souvent plus anxieuses que ne l'étaient leurs grands mères. Etre soi-même Plutôt que de suivre des préceptes édictés par d'autres, il est souvent préférable d'écouter sa propre voix intérieure et de faire comme "on le sent" c'est valable aussi bien pour l'allaitement que pour le choix des couches, l'heure de la promenade, le nombre de fois où l'enfant passera sur la balance ou sera pris dans les bras… Ce qui est bon pour l'enfant, c'est avant tout ce qu'on a du plaisir à faire pour lui. Pour garder du plaisir à le satisfaire, à le distraire, à rire et à jouer avec lui, bref, pour pouvoir lui transmettre de la vie, il faut qu'une mère ait ses propres espaces de ressourcement; qu'elle ne s'oublie pas. Il faut qu'elle s'accorde ce qui est important pour elle, y compris, si son épanouissement passe par là, le fait d'avoir un travail qui lui prend beaucoup de son temps. Ne pas écouter ses propres limites et se sacrifier inlassablement, mènent à l'insatisfaction personnelle et au bout du compte à celle de l'enfant. Etre à l'écoute de soi-même, accepter ses failles, sa colère, ses moments de "ras le bol", permet d'agir en conséquences "passer la main" à la grand mère, à la nounou…, réclamer de l'aide, voire se faire accompagner psychologiquement si la détresse est trop grande… Passés les premiers moments de sa vie, une des meilleures choses qu'une mère puisse faire pour son enfant, c'est qu'il ne soit pas son unique préoccupation. La mère "suffisamment bonne" Il n'y a pas de mère idéale mais plutôt une position à essayer d'occuper qui tienne compte à la fois du confort psychologique de la mère et de l'épanouissement de l'enfant, celle que Donald W. Winnicott appelait la mère "suffisamment bonne". Selon cet auteur, la mère "suffisamment bonne" est celle qui pourra, dans un premier temps, accepter de vivre au rythme des besoins de son enfant, sans toutefois les anticiper, de manière à créer l'illusion qu'il est en quelque sorte le "maître du monde" ; de l'efficacité de son adaptation naîtra, chez l'enfant, un sentiment de confiance en la vie, base de sa future personnalité. Après le "cocoonage" des premiers mois et pour que l'enfant puisse continuer d'évoluer, la prise de distance et donc la désillusion est indispensable ; si la mère est partie prenante de cette évolution, si elle est d'accord pour se séparer, l'enfant pourra alors élargir son univers à papa, aux frères, à la nounou… et s'individualiser. À voir aussi Qu'on ne s'y trompe pas, ce n'est pas si facile de satisfaire son enfant sans se substituer à lui et de s'en séparer sans avoir l'impression de perdre un bout de soi-même. Mais ces actions sont nécessaires, car elles donnent, à la mère comme à l'enfant, la liberté inestimable d'être eux-mêmes. Quoiqu'il en soit, une mère ne détient pas seule en son pouvoir le présent et l'avenir de ses enfants ; des facteurs tels que l'hérédité ou les circonstances de la vie jouent également un rôle considérable dans la façon dont ils vont se construire. Soyez la mère que vous êtes, ni plus, ni moins ; il y a tant de façon d'être une "bonne" mère, pourquoi la vôtre ne serait-elle pas "suffisante" ? Télécharger l'article Télécharger l'article Admettez-le, vous n’arrivez pas toujours à créer des liens avec votre fille. Elle est peut-être occupée à travailler sur son ordinateur, à passer du temps avec ses amis, à manipuler son téléphone ou à faire ses travaux académiques. Lorsque vous essayez de lui adresser la parole, elle ne vous écoute pas ou sort simplement de la pièce. Elle vous trouve embarrassante et de votre côté, vous ne savez pas comment remédier à cela. Vous » pourriez également être occupée par le travail, les responsabilités financières, la famille et bien d’autres choses encore. Êtes-vous confrontée à l’une de ces situations ? Si oui, vous devez alors améliorer votre relation mère-fille ainsi que vos liens de façon générale. Cela pourrait paraitre difficile, mais après un certain temps, vous comprendrez que le processus n’est pas aussi compliqué que vous le pensiez. Après tout, il s’agit de votre fille. Ne vous inquiétez pas si vous ne savez toujours pas comment vous y prendre pour passer du temps avec elle et trouver un lien commun, car il existe plusieurs astuces qui vous aideront à y arriver. Étapes 1Réservez-lui du temps. Vous devez faire l’effort de dégager du temps pour faire un certain nombre de choses avec votre fille. Choisissez un jour dans la semaine ou une période de la journée où vous êtes toutes les deux libres. Cela peut par exemple être le jeudi ou le dimanche soir. Il serait très intéressant de garder les mêmes jours et les mêmes heures, de sorte que chacune de vous puisse se rappeler de votre moment spécial à passer ensemble. De cette manière aussi, vous serez plus encline à vous rendre disponible. L’été est la période la plus propice pour faire des activités communes, parce que votre fille aura certainement déjà fini les cours. Si vous travaillez encore en été, faites alors l’effort de trouver un créneau pendant les weekends pour être avec elle. S’il le faut, demandez à travailler moins. Cherchez à passer une ou deux heures par jour avec votre fille. Il est préférable de choisir un créneau où vous êtes toutes les deux libres. Demandez-lui veux-tu qu’on fasse quelque chose le jeudi soir ? » ou cherchez à savoir à quel moment elle est libre. Vous trouverez à coup sûr un jour. Gardez toutefois à l’esprit que votre enfant pourrait être très occupée à faire ses devoirs les soirs de semaine. Respectez cela et trouvez un autre moment où vous serez ensemble. 2 Sachez ce que votre fille aime. Le fait de connaitre le type d’activité que préfère votre fille sera grandement utile lorsque vous passerez du temps ensemble, pare que cela vous permettra de savoir où aller et ce qu’il faut faire. Observez votre fille de temps à autre, sans exagérer, pour savoir ce qu’elle fait. Elle pourrait aimer être sur son ordinateur, dessiner, regarder la télévision, lire ou jouer dehors. Vous devez chercher à en savoir davantage sur ce qu’elle fait afin d’avoir plus de précisions sur ce qu’elle aime. Pendant qu’elle est en train de lire, vous pouvez par exemple lui demander ce qu’elle lit. Lorsqu’elle regarde la télévision, cherchez à savoir ce qu’elle suit et si elle est dehors ou sur son ordinateur, vous pouvez lui demander à quoi elle est en train de jouer. Cette manière de procéder vous permettra de mieux cerner ce qu’elle aime et lorsque vous lui demanderez, vous verrez qu’elle sera contente que vous vous intéressiez à ce qu’elle fait. Ses centres d’intérêt pourraient être différents des vôtres, mais ne cherchez pas à changer ses gouts. Cherchez à en savoir davantage sur les centres d’intérêt de votre fille et faites des choses qui se rapportent à ces activités. Si par exemple elle aime la lecture, vous pouvez le faire ensemble à la maison ou passer un après-midi à la librairie. Si elle adore le football, faites une ou deux parties au parc ou dans votre jardin. Si votre fille aime la peinture ou les dessins, pensez alors à l’amener dans un musée d’art. 3 Faites des courses avec elle. S’il y a une chose qui permet de renforcer les relations entre femmes, c’est bien entendu le shopping. Cela vous permettra de discuter et de mieux découvrir les centres d’intérêt de votre fille tout en faisant de nouvelles choses. Faites en sorte qu’elle vous accompagne au supermarché pour vous aider à choisir les ingrédients qu’il faut pour le diner ou de délicieuses collations. Demandez-lui de mettre les objets qu’elle préfère dans le panier et qu’elle vous aide à choisir le type de boissons à acheter. Si votre enfant aime la lecture, rendez-vous alors dans une librairie près de chez vous et cherchez des livres ensemble. Vous pouvez également vous rendre dans un centre commercial. Cherchez des chaussures et des vêtements. Vous pourriez aussi demander à votre fille de vous aider à choisir vos propres vêtements. Elle appréciera certainement d’être votre conseillère de mode » surtout si elle s’y connait. Si votre fille est plus jeune, vous pouvez aussi l’emmener faire des achats dans un magasin de jouets. Permettez-lui de choisir le modèle qui lui convient. Au moment d’acheter des vêtements, des livres, des chaussures ou n’importe quelle autre chose, surtout lorsque vous êtes avec des adolescentes, il est conseillé de permettre à votre enfant de choisir ce qu’elle aime. C’est simplement sa manière de s’exprimer et d’être fidèle à elle-même. Quant à vous, vous pourriez toujours demander aimes-tu ceci ? », mais vous devez éviter de la forcer à acheter et à porter quelque chose qu’elle n’apprécie pas vraiment. Il est même préférable de vous rendre dans la boutique préférée de votre fille, car elle aura plus de chances de trouver des accessoires qu’elle aime. 4Sortez ensemble. Si vous n’avez pas envie de faire des achats dans des magasins, sachez qu’il existe tout de même plusieurs autres options. Vous pouvez par exemple aller à la piscine, au jardin public, à la plage, au musée, au restaurant ou dans un parc d’attractions. À partir du moment où vous connaissez les centres d’intérêt de votre fille, vous pouvez commencer à identifier les endroits où elle aura envie d’aller. Comme mentionné plus haut, il vous faut choisir un endroit qu’elle aimerait. Si elle aime le baseball, permettez-lui d’assister au match de son équipe préférée. Si elle a plus une âme artistique, emmenez-la voir une boutique d’art. Le climat est également un facteur important. Faites des recherches en ligne, suivez la télévision ou consultez le journal pour avoir plus d’informations sur les conditions météorologiques. Réservez les activités en extérieur comme la visite des parcs à thème et la piscine pour les jours plus ensoleillés. Pendant l’hiver, vous pouvez vous rendre dans un café pour prendre un bon chocolat chaud ou faire un bonhomme de neige. Par ailleurs, vous pouvez toujours aller dans votre jardin et jouer avec votre fille, peu importe le temps qu’il fait. Construisez un château de neige, faites une bataille de boules de neige, des anges de neige ou réalisez un bonhomme de neige. Dans le cas où votre fille aime le sport, il serait intéressant que vous alliez faire du ski, du snowboard ou de la luge. Ne vous inquiétez pas non plus s’il pleut, car vous pourrez aller au cinéma, à une piscine couverte, dans un restaurant, à la librairie, au musée, en somme n’importe où pourvu que ce soit en intérieur. 5Suivez un bon vieux film à la maison. Le fait de suivre un bon vieux film à la maison est une excellente activité que vous pouvez faire avec votre enfant lorsqu’il pleut. Cela peut aussi vous permettre de vous rapprocher. Mettez-vous ensemble pour chercher les films afin de trouver celui qui vous intéresse toutes les deux. En tant que mère, vous devez tout de même vous assurer que le film retenu soit indiqué pour l’âge de votre fille ! Les films de comédie familiale sont bien adaptés pour tous les âges et vous feront sourire. Toutefois, il y a encore d’autres possibilités, car il existe d’autres films que votre fille et vous pourriez aimer. Au nombre de ceux-ci il y a Rose Bonbon », My Girl » et Drop Dead Fred ». Si vous n’avez pas de bons films à la maison, rendez-vous alors au cinéma pour suivre celui qui vous convient. L’autre possibilité intéressante que vous avez est de regarder la télévision. Vous pouvez trouver une émission télévisée que vous pourriez aimer toutes les deux et pour cela vous devez vous assurer de trouver le créneau idéal pour la suivre. Il y a de fortes chances que cette émission soit diffusée à la même heure chaque jour, ce qui conviendra certainement à votre programme. Dans le cas où quelqu’un parmi vous ne serait pas à la maison en ce moment, il faudra alors enregistrer l’émission télévisée. 6 Aidez-la à faire ses devoirs. En tant que maman, il est important que vous puissiez assister votre fille dans son éducation. Faites toujours l’effort de l’aider pour ses travaux académiques si elle vous sollicite pour cela. Évitez de lui souffler la réponse, aidez-la plutôt à la trouver. Si par exemple elle a des difficultés sur un sujet de mathématiques, ne lui donnez pas la réponse en disant simplement 32 ». Vous pouvez par exemple dire tu dois ________ », tout en attendant sa réaction. Cherchez à franchir les étapes avec elle. Dites par exemple, ensuite tu multiplies. Combien donnent 9 fois 13 ?» Si vous procédez ainsi, votre fille saura quoi faire la prochaine fois. Essayez également de l’aider même si elle ne vous le demande pas, mais vous devez détecter des indices qui vous indiquent qu’elle a besoin d’assistance. Si elle met beaucoup trop de temps à finir ses devoirs, dites-lui de ne pas hésiter à venir vers vous au cas où elle aurait besoin d’une quelconque aide. Il en est de même si votre fille obtient une mauvaise note à un examen. Rendez l’enseignement amusant. Vous devez transformer des révisions pour un devoir de vocabulaire ou d’orthographe en un jeu télévisé comme Jeopardy. Pour rendre les choses encore plus divertissantes, vous pouvez permettre à votre fille de se mettre dans la peau de l’enseignante pour qu’elle vous en apprenne davantage sur le sujet. Étudiez avec elle. Si votre fille a un examen important dans un futur proche, il sera de votre responsabilité de l’aider à se préparer et à étudier. Si vous lui demandez, elle vous dira certainement quoi faire. Elle pourrait par exemple dire dis-moi le mot et je donnerai la définition ». 7Jouez à un jeu. L’autre moyen par lequel vous pouvez dialoguer avec votre fille est de jouer ensemble à un excellent jeu. Fixez un jour où vous passerez la soirée à jouer toutes les deux ou demandez-lui si elle aimerait jouer à un jeu. Au nombre des excellents jeux de famille auxquels vous pourriez vouloir jouer il y a ? Oh ! Pardon, Monopoly, le Scrabble, Taboo, Serpents et échelles et Kit du Dresseur Pokemon 2017, mais vous pourriez vraiment profiter de n’importe quel titre. Les jeux de cartes sont également divertissants et parmi eux vous pouvez opter pour la Triche, la bataille, La Pêche ou le UNO. 8 Préparez quelque chose ensemble. L’autre moyen amusant qui vous permettra toutes les deux de tisser des liens est la cuisine ou la pâtisserie. Cela constitue également une excellente façon de commencer à lui apprendre à préparer si elle est assez âgée pour cela. Sortez des livres de recettes et jetez-y un coup d’œil avec votre fille pour voir ce que vous pouvez préparer. Vous pouvez par exemple faire un gâteau, des biscuits, des gâteaux au chocolat ou n’importe quel dessert. Si vous le souhaitez, vous pouvez également faire votre propre pain ou des petits pains, une tarte, des smoothies, une soupe, du croustillant, du ragout ou encore votre crème glacée ! Gardez à l’esprit que vous préparez ensemble ». Pour cela, vous devez permettre à votre fille de faire un certain nombre de choses, comme casser des œufs, aider à fouetter la pâte, verser des liquides et faire la décoration. Ne vous attendez pas à ce qu’elle fasse les choses de façon parfaite, car c’est de cette manière que les enfants et les adolescents apprennent. Cependant, vous devez éviter de la laisser utiliser le four jusqu’à ce que vous ayez la certitude qu’elle est mature et suffisamment responsable pour s’en approcher et faire des tâches sur des appareils électroménagers qui dégagent de la chaleur. De la même manière, vous devez éviter de toujours la dorloter, car les enfants devraient être capables de cuisiner avec ces accessoires s’ils ont autour de 11 ou 12 ans. 9Montrez-lui que vous l’aimez. Évidemment, votre enfant sait déjà que vous l’aimez, mais est-ce que vous le lui prouvez réellement ? Bien que le fait de jouer à un jeu ou de regarder la télévision signifie que vous passez du temps ensemble, il importe tout de même que vous vous posiez la question de savoir s’il s’agit vraiment de moments spéciaux. Vous pourriez ne pas savoir comment procéder, mais ce sont de petites choses qui comptent. Vous pourriez par exemple discuter, profiter de la nature ou faire une superbe balade ensemble. Réconfortez-la lorsqu’elle passe une mauvaise journée en lui offrant un petit cadeau ou en lui faisant un câlin. Vous pourriez par exemple lui offrir un livre ou un animal en peluche. Adressez-lui souvent des messages encourageants comme tu peux le faire », je crois en toi » ou tu es une artiste, une nageuse, une joueuse de football talentueuse ! » Assurez-vous surtout de saluer ses efforts, car il est important de lui faire savoir que c’est dans l’effort et le travail, y compris l’apprentissage dans l’échec, qu’elle réussira dans la vie. Avec votre soutien, vous remarquerez qu’elle adoptera une attitude positive. Apprenez à rire et à sourire avec elle. 10Discutez. Il est important que votre fille sache qu’elle peut toujours venir vers vous et discuter si elle a besoin de quoi que ce soit. Lorsque vous parlez à votre enfant, vous devez vous assurer de la regarder et veiller à ce qu’elle fasse de même. Exprimez-vous en ces termes je veux que tu écoutes », mais dites-le avec un ton calme et aimable. Essayez de faire court et simple, sinon votre enfant s’ennuiera. Elle ne sera pas concentrée et pensera qu’elle a des problèmes ou que vous lui faites la morale. Abordez d’abord les questions les plus importantes en utilisant des expressions courtes et simples. À des moments donnés, vous devrez également discuter avec désinvolture. Pendant que vous échangez toutes les deux, cela ne doit pas être vraiment sérieux. Vous pouvez par exemple discuter de l’école avec des questions comme comment s’est passé ta journée d’école aujourd’hui ? » Toutefois, gardez à l’esprit que vous devrez aller bien au-delà de ces préoccupations. Posez-lui également des questions sur son avenir, ses loisirs et son sport favori. 11 Écoutez. Non seulement vous devez amener votre fille à vous écouter, mais vous devez également le faire en retour. Si vous n’y parvenez pas, elle se dira que c’est normal de ne pas prêter attention aux autres. Tenez également compte du fait que les enfants savent à quel moment leur parent ne les écoute vraiment pas et il s’agit d’un sentiment désagréable et démoralisant. Pour mieux écouter, il est préférable d’arrêter ce que vous êtes en train de faire et de la regarder. Établissez un bon contact visuel afin de pouvoir écouter. Pour prouver que vous prêtez vraiment attention, posez-lui les questions que vous avez. Sachez que vous avez également la possibilité de paraphraser. La paraphrase consiste à redire ce qu’a dit votre interlocuteur en utilisant vos propres mots. À titre illustratif, vous pouvez faire ceci donc tu es en train de dire_______ » ou tu veux dire que________ ». Cette manière de vous exprimer vous permettra de clarifier ce que votre enfant vient de vous dire. Écoutez ce qu’elle veut dire. Si par exemple votre fille a envie d’aller au cinéma, ne dites pas juste non » directement. Cherchez plutôt à savoir ce que vous pouvez faire, vérifiez les films qui seront diffusés ou demandez-lui le film qu’elle veut suivre. Vous pourriez ne pas vouloir le faire, mais de temps en temps, vous devez permettre à votre fille de faire les choses à sa façon. 12 Rendez-vous disponible pour votre fille. Vous devez faire l’effort de toujours vous rendre disponible, que ce soit à travers votre présence à un évènement important, par des paroles d’encouragement ou pour prodiguer des conseils. S’il y a un évènement sportif, académique, musical ou n’importe quelle autre activité importante à laquelle votre fille veut que vous assistiez, vous devez vraiment faire l’effort de vous y rendre. Sinon, cherchez à comprendre pourquoi. Faites l’effort d’annuler tout ce qui est programmé pour le même jour, mais assurez-vous d’informer votre fille des évènements auxquels vous ne pouvez vraiment pas prendre part. Néanmoins, ce n’est pas un problème si vous ne pouvez vraiment » pas être présente à un évènement, sachez qu’il existe plusieurs autres moyens de prouver à votre enfant que vous êtes disponible pour elle. Proposez votre aide. Si vous constatez que votre fille a des difficultés par rapport à quelque chose, par exemple en sport, à l’école ou avec un instrument, n’hésitez pas à l’aider. Écoutez-la pendant qu’elle joue sa flute, aidez-la à faire ses devoirs, contactez le professeur ou jouez au basketball avec elle. Encouragez-la. Votre fille pourrait avoir du mal à faire quelque chose et vous devrez l’encourager là-dessus en posant des actes réconfortants et en lui adressant des propos encourageants. Dites-lui beau travail » lorsque vous le pensez vraiment. Vous pourriez aussi lui offrir un cadeau, comme un livre, sur lequel vous écrirez félicitations ». Faites-lui des compliments. Vous pouvez par exemple dire à votre fille c’est une jolie chemise » ou j’aime ce que tu as fait dans ta chambre ». 13Célébrez les talents de votre fille. Il s’agit d’une autre forme d’encouragement, et cela rendra votre fille tellement heureuse lorsque vous reconnaitrez ses talents. Demandez-lui si elle voudrait avoir un rôle dans une pièce de théâtre à l’école, jouer d’un instrument en solo ou faire partie d’une équipe de softball à l’intérieur ou à l’extérieur de l’école mais évitez de l’obliger et elle pourrait accepter. Cherchez également à savoir si vous pouvez lui faire intégrer une équipe ou une classe. L’autre chose que vous pouvez aussi faire est de participer à l’activité à laquelle elle s’essaie ailleurs. Vous pouvez par exemple jouer au football, lui demander de vous apprendre quelques pas de danse ou organiser un concert à la maison. Cela lui fera un grand bien, vous apprendrez en retour quelque chose de nouveau et vous renforcerez davantage vos liens. 14 Soyez gentille envers elle. Cela va de soi, mais votre gentillesse à un gros impact sur votre relation avec votre fille. Évitez de lui crier dessus immédiatement lorsque les choses ne se déroulent pas comme vous le vouliez. Gardez plutôt votre calme et prenez le temps de lui faire savoir qu’elle a fait quelque chose que vous n’avez pas aimé ou que vous ne souhaitez pas qu’elle fasse à nouveau. Vous pouvez dire je veux que tu le fasses » ou s’il te plait fais-le », plutôt que de vous exprimer de la manière suivante fais-le » ou fais ça maintenant ». De toute façon, elle sera plus encline à faire ce que vous dites si vous lui demandez gentiment. De plus, donnez les vraies raisons de votre opinion, car il ne suffit pas de dire parce que je te le demande ». Votre fille sera plus sensible si elle se rend compte qu’il y a un danger qui plane, une pression sociale, des problèmes de santé, etc., en somme des conséquences qui découlent de certains choix qu’elle fait. Pensez également à la prendre dans vos bras et à l’embrasser le soir avant qu’elle n’aille dormir ou le matin avant son départ. En clair, vous devez toujours finir toute chose sur une note positive. Respectez-la. Votre fille est un être humain, et vous devez garder cela à l’esprit. Il y a certaines choses la concernant que vous pourriez ne pas comprendre ou avec lesquelles vous pourriez ne pas être d’accord. Malgré cela, vous devez tout de même la respecter, car elle est libre d’avoir sa propre opinion. 15 Ayez confiance en votre fille. Cela pourrait être difficile à faire, mais vous devez avoir confiance. Vous pourriez ne pas croire en elle parce qu’elle ment souvent. Cela pourrait s’expliquer par le fait que vous » mentez aussi. Si vous le faites, elle pensera à son tour que c’est tout à fait normal de mentir, il est donc temps de commencer à être un bon modèle pour elle et pour tout le monde. Soyez honnête envers vous-même et tenez vos promesses. Cependant, si quelque chose se passe, vous devez vous assurer de lui en parler. Donnez les raisons, car elle serait certainement en train de se poser des questions. Lorsque vous voyez votre fille faire quelque chose de responsable comme travailler en groupe, travailler sur son devoir d’école ou obtenir un A à un examen, vous pouvez lui faire confiance encore plus. Partagez vos sentiments. Dites à votre fille qu’elle peut toujours venir vers vous si elle a besoin de discuter et qu’elle devra être honnête. Vous devez également lui faire part de vos » sentiments. Dites à votre fille comment vous vous sentez réellement à propos d’une situation et s’il le faut vous pouvez parfois lui demander des conseils. Demandez-lui si quelque chose ne va pas et comment était sa journée. Conseils N’ayez pas peur de lui dire simplement je t’aime ». Gardez à l’esprit que votre fille a sa propre personnalité. Elle peut dire et faire ce qu’elle pense. Pour cela, vous devez éviter de la forcer à faire quoi que ce soit. Permettez-lui de choisir ce qui lui plait lorsque vous faites des achats avec elle. Si vous préférez pour elle une chemise violette, alors qu’elle aime l’orange, achetez simplement celle de couleur orange. Soyez positive lorsque vous faites des achats. Votre fille tient compte de votre opinion, et donc il est important que vous soyez positive. Dites-lui par exemple le bleu te va très bien, et si nous options pour cela ? » plutôt que de vous exprimer en ces termes le rouge ne te convient pas ». Vous devez être honnête, mais aussi gentille. Gardez à l’esprit que même les petits moments comptent. Vous n’êtes pas tenu de planifier quelque chose de grand. Le simple fait de rire ensemble sera un moment dont vous vous souviendrez toutes les deux. Soyez un bon modèle. Votre fille voudra être comme vous, il est donc important que vous soyez un bon exemple pour elle. Soyez aimable si vous voulez qu’elle le soit en retour et si vous voulez que votre fille lise souvent, vous devez également faire de même. Tenez-vous à un budget. Vous pourriez être tentée de dépenser plus que vous ne devriez vraiment pour votre fille, mais tout le monde devrait se limiter à un budget. Il est facile de profiter de rabais intéressants et pour cela il suffit de chercher. Réalisez quelque chose ensemble de vos mains. Vous pourriez confectionner des fleurs en papier de tissu, un album ou toute autre chose ! De plus, si votre enfant sait comment faire quelque chose, permettez-lui de se mettre dans la peau du professeur » pour vous apprendre à le faire. Emmenez votre fille sur votre lieu de travail lors de la journée dédiée à ce genre d’activité. C’est un excellent moyen pour elle de voir à quoi ressemble une journée de travail typique pour vous. Cela pourrait également vous permettre de vous rapprocher davantage. Avertissements Laissez-la seule de temps à autre. Ne suivez pas votre fille partout. Permettez-lui d’avoir son espace personnel, c’est-à-dire un moment pour elle-même. C’est une bonne idée de prendre de ses nouvelles de temps en temps, mais elle pourrait se sentir agacée si vous le faites trop souvent. Ne soyez pas radine. Comme il a été mentionné plus haut, vous devez faire vos achats avec discernement, sans tomber dans l'avarice. Vous devez faire l’effort de créer un parfait équilibre entre les petites dépenses et celles qui sont trop excessives. Ne donnez pas à votre fille tout ce qu’elle veut. Cela pourrait être difficile, mais elle doit savoir qu’on ne peut pas tout avoir quand on le veut. Il y a certaines choses pour lesquelles elle devra travailler. Elle doit économiser son argent de poche de temps en temps pour faire des achats. Cela lui apprendra à être responsable. Ne permettez pas à votre fille d’utiliser le four lorsque vous cuisinez ou si vous n’êtes pas présente. Les enfants âgés de 9 à 15 ans auront simplement besoin de quelqu’un à côté d’eux et vous devez effectuer le processus pour ceux qui ont entre 4 et 8 ans. S’ils vous posent la question de savoir pourquoi il faut un adulte en leur compagnie dans la maison, expliquez-leur qu’ils pourraient se bruler et que cela est vraiment douloureux. Si une jeune enfant affirme qu’elle peut se débrouiller seule, répondez-lui non, tu pourrais te blesser ma puce ». Cette explication est vraiment facile à comprendre pour les petits enfants. Références À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 7 177 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?

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